Il est là!!! Les nouvelles aventures de Nathan Drake ont débarquées sur PS4. On l’attendait depuis si longtemps et, au final, l’attente n’a pas été vaine. Bluffant, renversant, l’exclusivité Sony Playstation 4 ne déçoit pas. Attention triple A en puissance. Naughty Dog rehausse les standards de qualité.
Uncharted 4: A thief’s end est le dernier et ultime épisode de la série. Comme son titre l’indique, c’est la fin d’un voleur. Naughty Dog, les développeurs, nous l’ont dit d’entrée de jeu, Uncharted 4 (U4) est leur dernier de la série et se sont mis d’accord de conclure la saga proprement.
Uncharted en quelques mots
Uncharted est une série emblématique qui a débuté sur PS3. Uncharted c’est déjà une claque graphique. Uncharted était considéré comme le top de ce qu’on pouvait faire de mieux sur PS3, jusqu’à l’arrivée de The Last of Us du même développeur. C’est aussi un TPS (third person shooter) mixant habillement exploration et action retraçant les aventures périlleuses de Nathan Drake, un « voleur » qui se met toujours dans des situations pas possibles grâce à ses fréquentations peu recommandables. Uncharted c’est de l’aventure à l’état pur. On voyage un peu partout dans le monde. On découvre des cités perdues, des artefacts mythiques et on est toujours a deux doigts de la mort. Mise en scène Hollywoodienne, cliffhangers, rebondissements et beaucoup d’humour. Uncharted est la franchise pop-corn triple A sur Playstation par excellence pour passer un bon moment sympa sans prise de tête.
Une chasse au trésor épique
Après les aventures de Uncharted 3, Nathan Drake a mis un terme à sa vie d’aventurer tête-brulée pour se ranger dans une vie plus simple et plus tranquille aux côtés d’Elena sa tendre moitié. Tout va être bouleversé, lorsque le frère de Nathan, Sam, refait surface. Hé oui, il arrive, tout d’un coup, sorti de nulles parts, mais les scénaristes ont trouvé une parade et ça passe. Prisonnier durant 15 ans au Panama, Sam réussi à s’évader grâce à un baron de la drogue, Hector Alcazar. Ce dernier rend la liberté à Sam en échange d’une grosse part du trésor du pirate Henry Avery d’une valeur estimé à plus de 400 millions de dollars. Il a 3 mois pour mettre la main dessus. Sam a, évidemment, besoin de l’aide de son frère. Une fois de retour, il entraîne Nathan, un peu contre son grès, à retourner sur les traces d’Henry Avery qu’ils avaient laissé il y a une quinzaine d’années. L’aventure va conduire nos deux compères aux 4 coins de la planète. Allant d’un indice à un autre, Nate (diminutif) et Sam vont voir du pays; Italie, Panama, Madagascar, Ecosse, îles paradisiaques et d’autres endroits insolites. Bien sûr, ils ne sont pas les seuls à chercher le trésor. Le richissime Rafe Adler qui est à la recherche de gloire et de reconnaissance, met tous les moyens de son côté pour y arriver en premier. Il est secondé de Nadine, une mercenaire coriace accompagnée, évidemment, d’une armée, sinon ça ne serait pas drôle. L’histoire nous plonge avec émotions au cœur du spectacle, nous faisant vivre toutes les étapes incluant des flashbacks réussis. Une vraie chasse au trésor avec tout ce que cela comporte; danger, adrénaline, énigmes, pièges, rebondissement, etc. Mais tous ces risques en valent-ils la peine ou Drake regrettera-t-il d’avoir suivi son frère dans cette dernière aventure?
Une campagne énorme
L’aventure solo mélange habilement, l’exploration, la grimpette et l’action, mais Uncharted c’est plus que ça. Naughty dog, c’est le scénario avant tout. Ils n’ont pas peur de mettre de longues phases de « gameplay » contemplatives où le joueur ne fait rien ou très peu de chose. La première partie de la campagne est un peu comme ça. On joue un peu et on regarde beaucoup. Il y a du gameplay classique, mais il y a beaucoup de blabla, de magnifiques cinématiques temps-réels, de promenades, etc. Ce n’est pas désagréable, on se laisse porter, on admire les magnifiques décors et environnements. Le jeu des personnages est bluffant de vérité avec des expressions faciales impressionnantes.
On découvre pleins d’objets souvenir des vieilles aventures de Nate, dans son grenier. C’est un joli clin d’oeil de la part de Naughty dog. On écoute les dialogues des personnages, surtout Nathan, raconter des conneries. C’est vraiment plaisant, mais ça prend vraiment son temps et on ne fait pas grand chose quand même, si ce n’est dire « wouahhhh ». Bref, il y a plusieurs moments comme ça dans le jeu. Il ne faut pas s’attendre à de l’action frénétique toutes les 2 minutes, et tant mieux, car on fait plus attention à l’histoire, aux environnements et on s’attache plus aux personnages. Sinon entre deux cinématiques, c’est assez classique pour du Uncharted. Nate est souvent accompagné d’un acolyte, son frère, Sully ou autre, et ils doivent se frayer un chemin en escaladant des montagnes ou des bâtiments et en éliminant les ennemis sur leur passage. On court, on grimpe, on tombe, on déplace une caisse, on regrimpe, la corniche cède, on se rattrape in extremis, etc. Et il y a les énigmes à résoudre aussi. Elles sont assez simples dans l’ensemble et sympa à faire.
Avec pratiquement toujours un coéquipier à ses côtés, ça aurait été bien que le jeu propose de la coopération à deux joueurs en local ou sur le net. Ce n’est pas le cas, tant pis. Alors comme d’habitude le coéquipier est quand même utile. Bon, il court partout sans faire attention, un peu comme dans The Last of Us. Heureusement, les ennemis ne le voient pas. Il veut bien vous faire la courte-échelle quand ça l’arrange ou nous montrer la voie à suivre si on tourne en rond. Mais il vous aide parfois aussi un peu dans les combats en liquidant quelques ennemis. Il peut attraper des ennemis proches pour que vous le finissiez ou pour vous libérer. Le jeu à des zones d’action dans lesquels la furtivité est privilégiée. En effet, les combats se rapprochent souvent du même système que dans The Last of Us. Il faut se cacher, derrière une caisse, dans les feuillages, et tout faire pour ne pas se faire voir et rameuter les soldats. Il faut essayer d’éliminer les ennemis un après l’autre en essayant de cacher les corps.
Alors comme je disais, ça fait plus The Last of Us que Uncharted, qui est plus axé action directe et frontale, mais personnellement, je trouve hyper chouette comme style de gameplay. C’est plus stratégique, plus posé et rien n’empêche de tirer dans le tas et de se la jouer bourrin à l’ancienne. Les affrontements à armes à feu sont très similaires aux anciens Uncharted, un peu flottant. Dans U4, il y a maintenant des niveaux « ouverts » dans lesquels Nate et ses amis peuvent se promener à leur guise sans avoir à suivre un « couloir » comme d’habitude. Bon, en pratique, il y a toujours en majorité des tableaux de type « couloir » avec grosso modo un seul chemin possible. Les endroits ouverts permettent en fin d’aller « où l’on veut » et de trouver quelques secrets à droite à gauche. Mais le level design, hyper bien fait du coup, ramène toujours notre héros là où il doit aller. Néanmoins, cette sensation d’avoir plus de liberté dans les approches et l’exploration est très plaisante et gratifiante. La campagne est longue. Il faut compter entre 14 et 16 heures, voire plus, pour arriver au bout. Sans compter trouver tous les petits trésors cachés, très bien dissimulés dans les niveaux. Du début à la fin, on est happé par l’histoire. On veut savoir ce qu’il va arriver. Est-ce que Nathan, Sam et Sully trouveront le trésor? Il est presque difficile de poser la manette pour reprendre plus tard. Il y a beaucoup de moments forts et de scènes géniales dans lesquels on s’en prend plein la tronche. Je ne pourrais pas dire que ça ne s’arrête pas, mais en fait si et ça qui est génial, en tout cas la première fois. La deuxième fois, c’est déjà plus longuet et barbant. Mais même quand ça ne pète pas de partout, c’est magnifique, peut-être même plus encore. Il y a pleins de moments plus calmes pour contempler les environnements somptueux. Uncharted, c’est souvent inspiré d’autres franchises, que ce soit cinématographique ou vidéoludique, comme Indiana Jones ou une aventurière très connue. Dans Uncharted 4, il y a un pas mal de référence au film Les Goonies (1985). Sans vouloir trop en dire, il y a pleins de moments dans le jeu qui rappel de près ou de loin le film. Je me trompe peut-être, mais je ne suis pas le seul à avoir fait plusieurs fois le rapprochement. La campagne est magnifique de bout en bout, pratiquement sans fausse note. Certains accuseront peut-être quelques problèmes de rythme avec trop de phases « contemplatives » qui casse le gameplay et quelques éléments invraisemblables dans le scénario, mais quel jeu ou quel film n’en a pas? Laissez-vous porter. Bref, du grand art, riche, généreux, émouvant et captivant cette campagne pour bien conclure l’histoire d’un voleur.
Des graphismes qui tuent
La première chose que l’on remarque dans U4 ce sont ses graphismes. Ça claque. Sérieusement, c’est somptueux à tous les niveaux. Que ce soit au niveau technique ou artistique, Naughty Dog est au top. Dès le premier épisode sorti en 2007, Naughty dog voulait nous montrer ce qui pouvait se faire de mieux sur PS3. Avec le 2, Thieves among us, tout le monde a compris. Le 3 était un raffinement du 2, et là avec le 4, ils ont mis les points sur les i. C’est juste merveilleux ce qu’ils ont fait sur PS4. Alors c’est très beau, mais ce n’est pas tout. C’est aussi super bien animé, il y a pleins de détails qui rendent le jeu presque plausible. La physique est souvent très bonne, c’est coloré, la lumière est somptueuse et met vraiment le jeu en valeur. En jouant avec des couleurs froides par endroits et chaudes à d’autres endroits pour toujours nous garder dans l’ambiance appropriée. La végétation, les objets en bois, en pierre ou en métal sont d’un réalisme fou. C’est simple souvent dans le jeu, on s’arrête et on passe quelques secondes à regarder autour de soi la bouche grande ouverte. Juste le temps de prendre une ou deux photos avec le très bon photomode et on repart. Et c’est ça pratiquement tout le long. Niveaux technique, c’est du très lourd. Même dans les lieux ouverts, le popping est à peine perceptible, en tout cas on y fait pas attention. Le seul bémol que je mettrai, c’est le flou cinétique. Ce n’est pas le seul jeu à l’utiliser, souvent pour des raisons techniques, mais c’est fréquemment mal utilisé et ça rend mal à l’écran, je trouve. A part ça, c’est un sans-faute et c’est, sans doute, le plus beau jeu sur console présentement, à mon avis.
Un gameplay classique mais efficace
Pour ce qui est du gameplay, Uncharted 4 fait du Uncharted pur et dur, mais il le fait évoluer en ajoutant quelques nouveaux composants dont certains emprunté à The Last of Us. Ceux qui connaissent ne seront pas dépaysés, la plupart des mécaniques de jeu sont toujours là. On court, on escalade et on tire. Les combats sont toujours très plaisants, bien qu’un tantinet brouillons, à mon avis. La visée est un peu approximative et les armes ont pas mal de recul, mais rien de nouveau. L’AI est perfectible, elle vise bien, mais les déplacements et mise à couvert pourraient être amélioré. La grande nouveauté de cet épisode est la corde grappin. Il est maintenant possible de se balancer dans le vide et accrocher sa corde à certains endroits prédéterminés. Le gameplay en est amélioré, car ça ajout une nouvelle dimension à l’exploration en offrant de nouvelles possibilités et en donnant des scènes vertigineuses au-dessus du vide accroché à sa corde. Les combats sont aussi améliorer grâce au grappin qui permet de contourner ou surprendre les ennemis depuis les airs. C’est bien plus dynamique et donne droit à des scènes épiques en se balançant d’un point à un autre avec le lance-grenade.
L’escalade a, elle aussi, été revisitée. On ne le remarque peut-être pas au début car on le fait naturellement, mais le ou les bras de Nate sont dirigés avec les sticks analogiques pour atteindre la plateforme suivante. Il faut donc désormais viser et vraiment attrapé ses prises lorsqu’on escalade. C’est très bien fait et ça augmente la sensation d’être aux commandes. Il y a aussi le piolet, heu, je veux dire le clou qui permet de s’accrocher à certaines parois sans prises, mais ça n’apporte pas grand chose au final. Il y a aussi quelques faiblesses dans le gameplay. A une ou deux reprises dans le jeu, Nate doit se battre à main nue contre un adversaire. Ces combats, très cinématographique, n’apportent rien question gameplay. On ne peut pas vraiment se battre, tout est scripté, on est impuissant sur l’issu du combat, on se sent même pas vraiment aux commandes tellement on ne peut pas faire ce que l’on veut. Ils auraient dû faire des cinématiques classiques, que l’on aurait pu apprécier totalement car c’est hyper bien fait, mais l’interaction ne l’est pas. Les énigmes sont bien intégrées dans le jeu. Souvent assez simple. Il faut souvent déplacer quelques objets ou les tourner dans la bonne position en activant des manivelles. En observant bien les environnements et le carnet de Nate ça reste assez simple et ne devrait pas poser trop de problème même aux plus jeunes.
Autre nouveauté, la jeep. Certains niveaux, comme à Madagascar, sont très grands et ouverts. Pour facilité et accéléré les déplacements, Nate peut conduire une jeep. Le véhicule est bien intégré dans le jeu et fait part de quelques énigmes à résoudre grâce notamment à son treuil avec lequel on peut accrocher la jeep pour monter des pentes infranchissables ou arracher des piliers de ponts ou autres. On fait aussi du bateau. Plus classique, le bateau nous permet de naviguer parmi les îles paradisiaques pour le plus grand bonheur de nos yeux. Uncharted 4 propose donc un gameplay solide et très plaisant manette en main.
Le multi
Le multiplayer de ce Uncharted 4 est pas mal du tout. Il est assez similaire aux précédents épisodes. 8 cartes retraçant les environnements importants de la campagne. La variété des cartes est bonne, proposant pas mal de verticalité dans les combats. Le multi tourne en 900p à 60 images par seconde. Pour rappel, la campagne tourne, elle, en 1080p à 30 i/s. Cette petite baisse de résolution ne vient en rien gâcher la beauté du jeu et le jeu tourne merveilleusement bien avec son taux deux fois plus élevé et permet un confort de jeu et une excellente réactivité des commandes. Alors c’est du 5v5 en match à mort par équipe dans lequel faut dézinguer 35 membres de l’équipe adverse. Il y 2 autres modes, command dans lequel il faut sécuriser 3 zones et Pilleurs dans lequel il faut allez voler l’idole de l’équipe adverse. C’est très classique dans l’ensemble. On peut utiliser le grappin comme dans la campagne pour franchir de grands gouffres. Sinon les développeurs ont intégré un système d’achat d’équipement durant les parties. Pour chaque frag ou assiste, on gagne de l’argent. On peut aussi ramasser des diamants dissimulés dans la map. Avec cet argent, on peut acheter de l’équipement supplémentaire comme une grenade frag, un lance-roquette, une mine, un medipak, ou un c4, mais aussi un garde du corps blindé muni d’une sulfateuse. Il y a aussi des aides plus mystiques comme El Dorado qui draine l’énergie des ennemis à proximité ou l’esprit de Djinn qui rend invisible et d’autre encore à découvrir. Ces bonus apportent un peu de fraicheur dans un multiplayer un peu classique souvent vu et revu.
Conclusion
Uncharted 4 est le jeu à ne pas rater. Il est presque irréprochable à tous les niveaux. C’est le plus beaux jeu console jamais réalisé. Naughty dog, les développeurs, pris leur temps et ont mis tout ce qu’ils avaient pour nous offrir une aventure épique. La campagne est juste magistrale. Avec plus de 15 heures de jeu, Uncharted 4 nous fait vivre une chasse au trésor mémorable digne de grands films du genre. Il y a de tout, de l’action, des « pirates », de l’exploration, des découvertes, des énigmes, des trahisons, de l’émotion, de l’amitié, de la fraternité, c’est vraiment complet. On se prend pratiquement autant d’intérêt à savoir ce qui va arriver à nos héros mais aussi de ce qui est arrivé à Henry Avery et son trésor, il y a plusieurs siècles. Sans vouloir en dire trop sur le scénario, Naughty dog a voulu partir et laisser sa franchise sur une bonne note et c’est réussi. La boucle est bouclée. La campagne prend vraiment son temps pour nous montrer les origines de nos personnages afin de bien comprendre leurs relations et de s’attacher. Ces scènes « relationnelles » sont touchantes et hyper-réalistes avec des personnages aux expressions faciales bluffantes. Comme d’habitude avec Naughty dog, le jeu est splendide. Plusieurs environnements sont à couper le souffle et mérite une photo souvenir. La lumière, les effets, les textures, c’est ahurissant le travaille derrière tout ça. Mais c’est plus que ça. Le jeu est rempli de petits détails qui font toute la différence et qui rendent le jeu plus crédible. Les animations des personnages principaux sont très nombreuses. Ils vont même jusqu’à chasser les mouches qui leur tournent autour dans la jungle. L’humour est omniprésent avec des dialogues riches et drôles, toujours en concordance à la situation. Le gemaplay est toujours aussi fabuleux avec des ajouts de qualité comme le grappin qui offre de bonne sensation et dynamise certaines phases de combats et de plateformes. Certaines phases d’action se veulent plus furtives avec un système de couverture dans les herbes hautes se rapprochant plus de The Last of Us sans pour autant copier totalement son gameplay. Il n’y a pas de crafting ou de leurres. Pour ce qui est des points négatifs, car oui il y en a même s’il faut bien chercher. On regrettera quelques scènes semi-interactives (le combat avec Nadine) qui n’apporte rien niveau gameplay. Une cinématique passive aurait été mieux, je pense. Il y a quelques longueurs dans le jeu qui peuvent casser un peu le rythme pour certains joueurs, et encore c’est tellement bien fait. Un motion blur qui ne rend pas toujours hommage aux restes des qualités graphiques indéniables. Mais ce n’est pas grand chose. Pour le reste c’est presque un sans-faute. Si vous avez une PS4, il vous faut le faire c’est un indispensable. Si vous n’avez pas de PS4, essayez de vous en procurer une et faites le, vous ne le regretterez pas. D’ailleurs, il y a aussi Uncharted: The Nathan Drake Collection disponible sur PS4 qui relate les 3 premières aventures en remasterisé. Ce n’est pas indispensable d’y avoir joué pour faire et comprendre le 4, néanmoins il y a pleins de petites allusions et de clins d’œil aux précédentes aventures durant le jeu que ce serait dommage de les rater. En plus, Uncharted 1,2 et 3 sont aussi des jeux d’excellentes qualités qu’il faut avoir faits au moins une fois. Pour en revenir au 4, c’est le meilleur de tous, avec le 2 peut-être. Uncharted 4: A Thief’s End est, sans doute, le jeu de l’année 2016. En tout cas, il place la barre très haute et il faudra y aller pour le détrôner.
Les plus:
- Une chasse au trésor épique
- La claque graphique tout le long du jeu
- Un gameplay diversifié et solide
- Une fantastique campagne longue et captivante
- Une réalisation au top de son art.
- Un multi classique et simple mais très agréable
- Le souci du détail
- Les relations entre les personnages
- Mais ce que c’est beau!!!….ah je l’avais déjà dit?
Les moins:
- Le combat contre Nadine
- Sully un peu trop absent de l’aventure
- C’est fini…
Éditeur : Sony
Développeur: Naughty dog
Sortie : 10.05.2016
Disponible en exclusivité sur PS4
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