Afin de booster la natalité du pays, le Japon a mis sur pied le Happy Project. L’été de leur 18 ans, tous les jeunes de la nation doivent vivre pendant un mois en groupe de trois garçons et trois filles pour leur permettre de se connaître vite et de faire leur demande en mariage. Pour ceux laissé sur la touche à la fin de ce mois fatidique, c’est la déchéance sociale assurée et l’exclusion… Pour Sôta Miyano, le temps est venu de participer au Happy Project. Et voilà que le hasard le place dans le même groupe que Haruka Kamiki, une idole nationale ! Coup de bol ou annonce de problèmes ?
Bon, d’accord, à la base de ce manga, il y a plutôt une bonne idée. Présenter ce Happy Project est une façon un peu nouvelle de jouer au harem et à la comédie sentimentale mais le cadre en lui-même n’est pas plus utilisé que cela, laissant simplement le lecteur devant le fait accompli : ce projet existe, on n’en connaît pas les implications, on n’en présente pas les enjeux, etc. Du coup, on tombe vite dans la simple histoire romantique comme on en connaît déjà tant, manquant franchement de répondant. A voir si le tome 2 fera mentir cette tendance et nous proposera quelque chose d’un peu plus complexe !
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