Consultant indépendant, avec un parcours multiple et varié dans la technologie, le développement de systèmes de management ; y a-t-il quelque chose dans ce parcours qui a pu vous orienter vers l’écriture ?
Peut-être le fait d’avoir écrit beaucoup de manuels d’utilisation, de procédures, d’une étude sur le dragage des trois lacs, et aussi d’une Newsletter que j’ai écrite durant quelques années.
Comment vous est venue l’idée d’écrire un roman, et un polar de surcroît ?
J’avais envie d’écrire depuis un moment, je ne savais pas forcément quoi, mais quand même orienté polar. Je me suis réveillé un matin et l’histoire, je l’avais rêvée. Donc j’ai pris des notes…
Par quoi avez-vous été inspiré ?
Par mon rêve qui s’apparentait fortement à mes lectures.
Combien de temps s’est-il écoulé entre l’idée et la réalisation ?
Environ deux ans.
Comment avez-vous construit ce roman ?
Je voulais présenter une histoire avec la vision de chaque protagoniste au fur et à mesure du déroulement de l’histoire. Je voulais construire une intrigue autour d’un thème (les produits radioactifs) et faire se relier des actions qui n’avaient rien à voir les unes avec les autres. La Boîte de 12 agit comme un remède aux maux de la société.
A quel moment avez-vous décidé que ce roman serait le premier d’une série ?
Pendant son écriture, environ au milieu, je me suis dit que j’avais créé un environnement propice à la réutilisation des personnages.
De quels événements réels ou personnages vous êtes-vous inspiré pour ce roman ?
Des bouts de mon existence, de personnes que j’ai rencontrées et qui me semblaient mystérieuses, mais pas de faits réels à proprement dit. Les lieux évoqués existent tous également. Par contre ce qui m’a inspiré, ce sont des concepts de films ou de livres, et surtout l’envie d’écrire un polar régional.
Existe-t-il en Suisse quelque chose d’équivalent à cette « Boîte de 12 » ?
Il existe quelque chose d’équivalent au niveau de la Confédération (les Services Secrets), mais autrement, aucune idée.
A-t-il été facile de faire éditer ce premier roman ?
N’étant pas passé par un éditeur, il me semble que oui. En fait le financement a été assuré par des dons et ma propre contribution.
Où pourra-t-on l’acheter ?
Par le biais du site de la sériew ww.laboitede12.org ou sur le site www.lulu.com mais également sur Amazon d’ici peu. J’espère que des libraires seront intéressés à la diffusion de mes romans.
Combien d’exemplaires sont édités ?
Entre 300 et 600.
Ce roman sera-t-il disponible en ebook ?
Oui, mais pas tout de suite.
Qu’avez-vous prévu pour la distribution auprès des librairies ?
J’en ai sélectionné quelques-unes à qui j’ai fait parvenir un courrier pour leur proposer mon roman en consignation. Je me tiens naturellement à la disposition de toutes celles qui seraient intéressées, de même que des commerces spécialisés qui souhaiteraient voir mon roman associé à leurs produits (chocolatiers, boulangeries, encaveurs, pharmacies ou autres détaillants). Par exemple, créer une boîte de chocolats avec 12 pièces pour rappeler que le roman fait partie de la Boîte de 12. On peut donc faire des emballages de 12 de n’importe quoi.
Quand prévoyez-vous la sortie du 2ème roman ?
D’ici un ou deux ans.
Avez-vous déjà une idée sur le sujet de ce deuxième roman ?
Oui, mais c’est encore top secret !
Maintenant que le livre est terminé, que ressentez-vous ?
Je me suis pris à mon histoire et j’ai eu un très grand plaisir à réaliser ce projet. Je savais que j’aimais écrire et je me le suis juste confirmé !
Benjamin Hoewler, auteur d’un premier roman policier à paraître dans les librairies le 16 décembre, si tout va bien.
Disponible également via le site www.laboitede12.org
[Patricia Beauverd]
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