La commissaire Maxime Letellier est confrontée à une drôle d’histoire. Une vieille dame se plaint qu’un ”cerial kilor” sévit dans son immeuble. Elle en veut pour preuve que trois hommes sont décédés à court intervalle, même si ces décès ont tous l’air accidentels. Il n’y a cependant que la dernière victime qui peut être examinée, les deux autres ayant déjà été inhumées. Max fait donc appel à son ami légiste pour qu’il jette un œil au cadavre, l’autopsie n’étant pas requise par le juge. Après examen externe, celui-ci est en mesure de confirmer que la victime a été poussée avant de se faire écraser par un bus.
Comme le service n’est pas débordé, loin de là, Max est contente d’avoir quelque chose à faire plutôt que son classement ou ses rapports. Cependant, à peine l’enquête démarrée, Max est enjointe de rejoindre le service qui gère les crimes en série pour s’expliquer sur l’enquête d’un meurtre auquel elle a participé une dizaine d’années auparavant avec son mentor Enzo qui est à la retraite et vit en Italie. Il semblerait que des meurtres ayant les mêmes caractéristiques se soient récemment produits et pour lesquels la police manque cruellement d’indices.
Max est donc dépêchée à Avignon sur le lieu du dernier crime et elle va s’intégrer à la cellule commandée par le Capitaine Bremont et ses deux coéquipiers.
Commence alors une enquête passionnante à laquelle Max est ravie de pouvoir participer car les enquêteurs sont des profileurs expérimentés. Grâce à son sens de l’observation et à son instinct, Max va pouvoir faire avancer l’enquête qui, au fur et à mesure de ses progrès, va révéler des surprises de taille.
Une fois de plus, une enquête de la commissaire Max Letellier à ne pas manquer. Suspense, surprises et meurtres en série sont au rendez-vous pour tenir le lecteur en haleine du début à la fin.
L’Arlequin
Auteure : Sandrine Destombes
Editeur : Hugo et Cie
Collection : Hugo Poche
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