Attention ! La chronique qui suit risque de déranger.
Dans ma naïve candeur de parleur de la langue française, je croyais que l’on ne conservait un titre en anglais que lorsqu’il s’avérait intraduisible. Là, je n’ai trouvé aucune mention de traducteur… À moins que cela soit un effet du passage de l’écran de Wattpad à une version papier illustrée… Et l’on me dit de manière un peu floue que la version écran a eu 8 millions de lecteurs et 9,2 millions de clics… Et j’ai l’impression de me retrouver avec un phénomène de cinéma (Les tontons flingueurs, La grande vadrouille, Le Grand bleu, Le Père Noël est une ordure…)… Combien de fois les avez-vous vus ? Est-ce parce qu’ils font un maximum d’entrées que ce sont de bons films ?
Là, nous sommes, si j’ai bien lu, à Ravenstein. Drew a vingt-deux ans et ne parle plus depuis le suicide de sa sœur ainée, seul Douglas son jumeau sait qu’elle parle encore. Sa mère s’est remariée après la condamnation pour violences d’Orlando, son premier époux, elle part en lune de miel autour du monde. Drew va devoir cohabiter dans la colocation de son frère. Elle va rencontrer Khaulder, le chef de la communauté, Alaric qui adore boxer, Ernest et les sept démons qui visitent les lieux… Mais voilà que pointent des mercenaires qui en veulent à Khaulder parce qu’il sait des choses à propos de ‘Black Pills’ censées soigner et guérir toutes les maladies mais ayant des effets secondaires inconnus. Et Orlando annonce son retour… À vous pour la suite.
Citation (c’est Ernest qui parle de sa sœur) : « Certains avaient des monstres sous leur lit, moi, j’ai eu Maria, et ce n’est pas forcément mieux. ».
Bonne lecture.
Living with boys
Auteure : Neavys
Editeur : Archipel
Collection : New Rules
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