Finalement, la nouvelle Nintendo Switch est entre nos mains. Après plusieurs mois d’attente remplient de trailers, d’annonces et de promesses, il est temps de faire un tour complet de la console et voir ce qu’elle propose. Bilan après deux semaines d’utilisation.
Commençons, par le commencement. La Nintendo Switch est la nouvelle console de jeux de Nintendo. Elle succède à la Wii U sortie en 2012. Nintendo à l’habitude depuis quelques générations de console de jamais faire comme les autres. Au lieu d’aller à la chasse à la puissance, Nintendo mise plus à se différentier de la concurrence avec des concepts novateurs et fédérateurs. On se rappelle tous de la Wii qui avait surpris tout le monde avec son concept de motion gaming qui parlait à tout le monde et pas seulement aux gamers. Le nouveau concept avec la Nintendo Switch, c’est d’avoir créé une console hybride tout en ramenant le motion gaming aux goûts du jour. En effet, la console de salon à la particularité d’être aussi nomade. Hé oui, Nintendo fait le pari un peu fou de lancer sur le marché une console de salon portable ou une tablette orienté gaming qui peut s’afficher sur la TV du salon via un dock, c’est vous qui voyez. L’idée, c’est de pouvoir jouer comme on veut, où on veut et quand on veut.
Premier constat positif en ouvrant la boite, Nintendo propose un produit très bien fini avec des matériaux de bonne qualité et une finition propre et stylé. C’est beaucoup moyen plastique « jouet » qu’auparavant. Le cœur et le cerveau de la console se trouvent dans la tablette qui est un écran de 6.2″ auquel on viendra attacher des périphériques de commandes multi usages, les Joy-cons. On clips les joy-cons de chaque côté et voilà une console portable prête à l’emploi. Les deux joy-cons sont assez petits, mais la prise en main est agréable. Encore une fois le plastique utilisé est d’excellente qualité. Les boutons et les sticks sont un peu petits aussi. Les boutons gâchettes à l’arrière ont très bien été pensés. Grâce à leur relief, la console tient plus facilement entre les mains. Elles apportent un support bienvenu lorsque l’on porte la console, pas qu’elle glisse trop. Il n’y a plus de la fameuse croix multidirectionnelle de Nintendo, le d-pad. Puisque les joy-cons ont plusieurs usages comme d’être une manette complète en combinant les 2 périphériques en un seul ou en étant 2 manettes séparées, mais identiques, pour du 2 joueurs. Donc, à la place du d-pad, on a 4 boutons de direction semblables aux 4 bouton A,B,X,Y. Un support joy-cons est également fourni avec la console ainsi qu’un câble de recharge USB-C/secteur, un câble HDMI, des dragonnes pour les joy-cons et le dock pour connecter la console à la TV.
La console a été designé, aux dires de Nintendo, comme console de salon avant tout pour une configuration de base avec la tablette plantée dans le dock et une image sur la télévision. Il est ensuite possible de switcher de mode de jeu et d’enlever la console du dock et de partir avec tout en continuant sa partie comme si de rien n’était. Et c’est vraiment le cas, ça fonctionne très bien. Ils précisent que la Nintendo Switch n’est pas le successeur ni le remplaçant de la 3DS qui, on le rappel, a encore de beaux jours devant elle. La console a été conçue sur un modèle de tablette Nvidia Tegra X1, un genre de Shield. Il ne s’agit évidemment pas d’une Shield avec un tampon Nintendo dessus. Elle a été modifiée et customisée pour atteindre les objectifs de Nintendo. Donc, techniquement, on a, à notre connaissance, une console contenant une Tegra custom de Nvidia, 4 Go de RAM, 32 Go de mémoire interne, un écran IPS 720p tactile de 6.2″, un slot à carte mémoire jusqu’à 2 To (en plus du slot pour les cartouches de jeu) et un port USB type C. On peut ajouter que la console est évidemment équipée des dernières technologies sans fil comme le Bluetooth (4.1) et le WiFi (2.4GHz et 5GHz en 802.1ac). Pour le son, la Switch a deux haut-parleurs pour un son stéréo et une prise jack pour les écouteurs. Alors, on verra ce que nous réserve l’avenir, mais sur le papier, la Switch n’est pas une bête de course pour une console de salon, mais en mode nomade, la petite console en a dans le bide. Ce sont de vrais jeux AAA qui tournent parfaitement, pas des jeux mobiles. On est vraiment sur quelque chose de supérieur à la 3DS. Pour la comparaison salon. On est, pour l’instant sur une Wii U amélioré, peut-être un peu en dessous d’une Xbox One. Rien qu’à voir le nouveau Zelda. Le jeu tourne mieux sur Switch que sur Wii U, tout en étant plus fin avec une résolution supérieure en mode TV. Et on parle d’un jeu porté sur Switch. Les jeux développés principalement sur Switch prendront d’avantage parti du hardware pour de meilleurs résultats. Un autre avantage de la Switch par rapport à la Wii U, c’est sa simplicité de programmation. La Wii U était compliquée à programmer. Cela rendait les développements longs et onéreux aux développeurs tiers. Ce qui ne les poussait pas à investir. La Switch, beaucoup plus simple, poussera les développeurs à porter leurs jeux. Surtout, si la console se vend bien. La comparaison avec les consoles de salon de Sony et Microsoft, ce n’est pas pour tout de suite. Il faudra attendre la sortie de jeux importants et similaires. Il faut néanmoins s’attendre à des portages un peu inférieurs, du moins sur les jeux aux graphismes « réalistes ». Les jeux à graphismes cartoonesques devraient mieux s’en sortir.
Les Joy-cons sont remplis de technologies. Prévu pour des usages multiples, Nintendo a chargé ses nouvelles manettes de tout ce qui était humainement possible tout en les gardant petites, pratiques et légères. Il y a des accéléromètres et capteurs de mouvements (gyroscope) comme dans les wiimotes plus, mais mis à jour, évidemment. Il y a du NFC pour les Amiibos, un capteur infrarouge de profondeur et un nouveau système vribrant, le HD rumble. Ce nouveau HD rumble permet de ressentir, par exemple, plusieurs objets dans la manette, comme des glaçons dans un verre. Il est possible de sentir chaque glaçon du « verre » et de sentir le verre se remplir de liquide. Assez fort en théorie. Dans 1-2 Switch, il est possible de ressentir des billes dans une boite avec pas mal de précision. C’est subtil, mais ça marche bien. Les matériaux utilisés pour les joy-cons sont aussi de bonne qualité et sont agréable en main. Ça paraît assez solide dans l’ensemble. Les Stick et les boutons sont de tailles réduites par rapport aux manettes standards. Petites manettes, donc plus petits boutons et plus petits sticks. Ce n’est pas un défaut en soit, mais avec des très grosses mains cela pourrait le devenir. Un petit bouton permet de détacher le joy-con de la tablette. Il faut ensuite le glisser vers le haut pour le libérer. Clipsé, la batterie du joy-con est chargée par la tablette. Un petit bouton permet de faire des captures d’écran. Très pratique.
L’écran de la Switch affiche de magnifiques images. La dalle IPS permet en rendu irréprochable, contrastes et couleurs, dans à peu près tous les angles de vue, ce qui est très agréable lorsque l’on joue à plusieurs et que l’on n’est pas juste en face de l’écran. Avec une résolution de 720p maximum, on est en HD, mais pas en Full HD. En 2017, c’est un peu dommage de ne pas atteindre ce standard de résolution. Néanmoins, sur un écran de 6.2″(15.7cm), certains diront que c’est suffisant. Oui et non. Il est vrai que ce 720p n’est pas dérangeant avec cette taille d’écran, mais la finesse atteinte par le 1080p est quand même appréciable. Il y a juste à regarder sur les écrans de téléphones mobiles. Mais une chose est sure, 720p est beaucoup moins énergivore que 1080p. Du coup, c’est la batterie qui remercie ce choix. Si l’on compare L’écran de la Switch à l’écran du Wii U gamepad, on remarque qu’il n’y a que la taille qui est comparable. Sinon, la différence saute aux yeux. La qualité d’image est sans égal. La résolution est supérieure, 720 vs 480 soit 237ppi contre 158ppi, la qualité de la dalle apporte des couleurs plus vives et éclatantes et l’écran est recouvert d’une couche beaucoup moins souple et terne que celui de la Wii U. On est ailleurs. Le touchpad de la Switch est multipoint maintenant et il est capacitif au lieu de résistif, comme sur Wii U ou 3DS, ce qui est beaucoup mieux et beaucoup plus agréable. La réactivité est bien meilleure et avec moins d’effort. Attention, l’écran peut être rayé si on ne fait pas gaffe. Il est recommandé de mettre une protection sur l’écran, comme sur les mobiles, pour le garder comme neuf. Personnellement, j’ai mis une protection en verre tempéré. C’est un peu plus cher, mais c’est simple à mettre, ça protège bien, on n’y voit pratiquement rien, ça fonctionne parfaitement avec le dock et je suis tranquille.
L’interface de la Switch et très simple et épurée. Elle est surtout incomplète à l’heure qu’il est. Direct à l’essentiel, une ligne d’icônes des jeux installés sur la console, quelques boutons d’options et c’est prêt. Bon, il faut dire que pour l’instant, tous les services et features de la console ne sont pas disponibles. L’interface évoluera et s’étoffera sans doute avec le temps. N’empêche, c’est fonctionnel et ça réagit bien. Il y a un bouton news, pour tout ce qui est nouveauté et annonces de Nintendo. Un bouton albums pour voir les screenshots et les partager sur les réseaux sociaux (Facebook ou Twitter). Un bouton eShop pour acheter des jeux numériques ou télécharger des démos. L’eShop aussi n’est pas dans sa forme finale et aura droit à plusieurs évolutions. Un bouton de préférences pour les options de la console et un bouton de veille. Il y a des petits ajouts tactiles sympas comme voir précisément l’état de la batterie en pourcent en touchant l’icône avec le doigt. Un menu d’options supplémentaire proposant, par exemple, le mode avion est disponible en gardant appuyé le bouton Home.
Tout n’est pas parfait. La Nintendo Switch a, comme toutes les consoles, des petits défauts. Je ne veux pas rentrer dans le débat de la puissance brute de la console. Ce sera la qualité des jeux qui parlera. Donc ça, on verra quand on aura plus de matière et d’exemples pour en discuter. Non, je veux parler de quelques défauts techniques de la console. Premièrement, en mode nomade, l’autonomie d’une charge de batterie est entre 3 et 6 heures. C’est peu. Cela nous l’avait été annoncé et ça a été vérifié. Avec un jeu comme Zelda, très énergivore certes, c’est vraiment 3 heures de jeu. Il faut donc penser à toujours recharger la console. Le dock fonctionne très bien pour cette tâche et permet même de jouer en même temps. Par contre, le rechargement total de la batterie est long. Il faut compter au moins 3 heures et ça, c’est en mode veille. De plus, si on utilise la console beaucoup en mode nomade, on se rend vite compte qu’il faut acheter un deuxième câble USB-C pour charger la console. La console est fournie avec un câble de recharge (USB-C / secteur), mais ce dernier est prévu pour alimenter le dock et recharger la console à l’endroit du dock. Donc, si on veut recharger la console ailleurs que sur le dock, genre dans la chambre à coucher, au travail, il n’y a pas douze solutions. Il faut soit enlever le câble du dock et le remettre à chaque fois, ce qui est d’un pratique, je n’en parle pas, soit acheter un 2ème câble, ce que j’ai fait et c’est mille fois plus commode à utiliser. Un câble USB-C/USB est fourni avec le pro controller, si jamais. En restant dans le même sujet. L’emplacement de la prise USB-C est parfois mal pensé. Il est placé en bas de la console. Je comprends que pour glisser la Switch dans le dock et qu’elle se connecte seamless, le connecteur devait être en bas. Cependant, rien n’empêchait de mettre un connecteur aimanté sur le haut ou l’arrière de la console pour que ce soit plus pratique dans les autres modes. Branché, on ne peut pas utiliser la console en mode stand avec son pied. En mode nomade, le câble est souvent gênant, surtout coucher, il faut toujours surélever la console. Il n’est pas possible de changer la batterie pour en ajouter une autre plus efficace. De plus, avec le temps, la batterie va se détériorer et devra être changé. C’est Nintendo qui se charge des changements de batteries officiellement en cas de besoin, via une contribution financière ce qui est normal. Les batteries ne sont pas gratuites non plus.
Autre « problème », les joy-cons. Le fait de pouvoir détacher les joy-cons de la tablette pour jouer en mode TV, ou Stand, est très pratique et ingénieux. Pour donner l’effet d’une vraie manette, Nintendo fourni un joy-con grip auquel les joy-cons se greffent. Premièrement, le grip fourni ne recharge pas les batteries des joy-cons. C’est une simple monture, rien de plus. Pour recharger les joy-cons avec un grip, il faut acheter un autre grip spécialement prévu à cet effet et vendu séparément. Deuxièmement, dans la pratique, c’est moyennement confortable à jouer quand on a l’habitude de vraies manettes. La forme globale de la « manette » est discutable. Par exemple, les coins en bas des joy-cons ressort et frottent dans le bas de la paume des mains et c’est un peu gênant. Heureusement qu’il y a le controller pro qui lui est très agréable en mains. Pour de longues sessions de jeu, il est indispensable. Mais, le plus gros problème, que j’ai rencontré, et je ne suis pas le seul à en voir les articles qui fleurissent sur le net, c’est la mauvaise connexion du joy-con gauche (bleu) avec lequel je ne pouvais pas jouer convenablement. Apparemment, le problème viendrait de l’antenne Bluetooth qui serait incorporée au circuit imprimé. Ce qui ne serait pas le cas du joy-con droite. Ça n’a pas gêné, du moins je n’en ai pas eu l’impression, sur des jeux comme 1-2 Switch, mais sur le Zelda quelle galère. Pour moi le controller pro est indispensable pour jouer sur la TV dans les meilleures conditions. Dernier point négatif, les 32Go de mémoire interne. En 2017, c’est quand même un peu léger. Je comprends qu’ils ont voulu se caler sur les autres tablettes et mobiles, mais là, on parle d’une console de jeux avec de vrais jeux qui prennent de la place. Pour info, lors du premier démarrage, le système affichait 25.9Go de place disponible. Avec le système d’exploitation et les arrondissements commerciaux des capacités en informatique (32Go = 29.8 Go réel), ce n’est pas si mal, je m’attendais à pire. Par contre, lorsqu’il y aura des updates du système, de jeux, des DLC à télécharger, ça va assez vite se remplir. Surtout si on compte acheter des versions digitales des jeux sur l’eShop. Il faut planifier d’acheter tout ou tard une carte microSD pour augmenter son espace de stockage.
La Switch est toute jeune et on est loin de savoir tout ce qu’elle nous réserve. Nintendo va, au fil des moins, étoffer son offre en ajoutant de nouvelles applications. On ne connait pas encore les plateformes de la console virtuelle. On a déjà des jeux ACA NEO GEO, mais il y aura évidemment des console Nintendo maison comme la NES, la SNES, mais peut-être aussi la N64 ou encore la gamecube, on ne sait jamais. Il y aura sans doute un navigateur Web et d’autres apps pratiques et ludiques. Enfin tout ça, on verra, car on attend toujours le lecteur de film DVD sur Wii…
Nintendo a un peu dévoilé ses futurs plans pour le online. Cet automne, pour jouer à la Switch aux modes multi online, il faudra payer comme sur Playstation et Xbox. Nintendo promet un prix inférieur à ses concurrents, mais on a encore rien vu officiellement. Avec le concept modulaire et ses joy-cons amovibles, on peut s’attendre à l’avenir à ce que la Switch voit accueillir de nouveaux périphériques divers et variés. On peut imaginer un joy-con normal, mais avec un d-pad Nintendo à la place des boutons. Une fois la console vendue avec les 2 joy-cons similaires et complémentaires pour les fonctionnalités de bases, rien n’empêche d’offrir d’autres options de gameplay ou d’ergonomie. Pour l’instant, les joy-cons sont disponibles en gris, rouges et bleus en version gauche et droite.
Pour le moment, la Nintendo Switch est une joie à utiliser. Elle remplit bien son contrat de console hybride. Son côté portable est des plus agréable avec une console puissante, pour une portable, et doté d’un magnifique écran IPS. Son côté console de salon n’est pas désagréable non plus. Moins puissante qu’une PS4 ou une Xbox One, la Switch a plus d’un tour dans son sac et nous promet de belles heures de gameplay devant la TV. D’ailleurs, fini de se battre pour la TV, la Switch règle le problème en 2 secondes. Avec son dock, on passe du mode nomade en mode TV en moins de temps que pour le dire. Nintendo a fait du très bon travail pour vraiment accomplir la promesse de la Wii U (le coté nomade) et en allant encore plus loin. La Switch est un bel objet de qualité, fabriqué avec de bons matériaux, qui fait plus mature et moins jouet que le Wii U gamepad. La taille de la console a un peu les fesses entre deux chaises. Pour une portable, elle est grande. Pour jouer l’écran de 6.2″ est assez grand pour afficher assez de détails et avoir un confort de jeu très agréable. Par contre, pour la transporter, la Switch, avec les joy-cons, est beaucoup plus longue qu’une 3DS XL, par exemple. Ce qui n’est pas toujours pratique. Il existe déjà des housses et des casings pour la transporter de différentes manières et sans danger. Il faut, néanmoins, de grandes poches ou un sac, sans oublier le câble de recharge ou le power pack. Oui, car la batterie interne ne dure pas très longtemps avec ses 3 à 6 heures d’autonomie. Les 32 Go de mémoire interne suffiront dans un premier temps à la console, mais l’achat d’une carte mémoire supplémentaire risque d’être assez vite nécessaire. Nintendo n’a pas encore battu toutes ses cartes et nous réserve des surprises. Sa politique de sortir du contenu en continue avec des jeux indés et de grosses sorties tous les 2 mois est rassurante. On a le droit aux noueaux Zelda Breath of the Wild à la sortie, suivra ensuite Mario Kart 8 Deluxe, puis Splatoon 2 et ainsi de suite jusqu’à Super Mario Odessey vers Noël. La puissance de la Switch n’est pas l’atout fort de la console. Il ne faut cependant pas oublier que ce n’est pas uniquement la puissance d’une console qui en fait son succès, mais les jeux et le fait que les gens s’amusent et s’y retrouve. Pour l’instant, c’est le cas. Avec le Zelda qui est juste incroyable et les futurs jeux déjà annoncés, ça vaut l’investissement. En tout cas, avec les excellents premiers chiffres de ventes, la Switch est bien partie pour un bel avenir et Nintendo a su bien mettre en avant les qualités de la console qui parle à son public. La nouvelle Nintendo Switch est la console de salon/portable familial pour petit et grand. Simple, polyvalent, modulaire, la Switch est conviviale. On peut jouer seul ou à plusieurs en toute simplicité où on veut, quand on veut et comme on veut.
Les plus :
- Une console hybride réussie
- Les multiples façons de jouer (seul ou à plusieurs)
- Une finition de qualité
- La qualité de l’écran IPS
- Une bonne prise en main
- Les joy-cons remplient de technologies (motion gaming et autres)
- Modulaire pour l’avenir
- Un écran de bonne taille pour jouer seul
- Le pied pour le mode stand très pratique
Les moins :
- L’autonomie de la batterie non-amovible
- Seulement 32Go de mémoire interne
- La position de la prise USB-C
- Les micros déconnexions du joy-con gauche avec le grip
- Écran un peu petit en splitté (mieux vaut privilégier la TV)
- On aurait aimé un peu plus de puissance pour une console de salon en 2017, mais ce sera la qualité des jeux qui en jugera.
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