Avec un sous-titre éclairant : l’histoire du funk en 100 albums et en couverture j’ai cru reconnaitre James Brown et Prince… Pour ce qui me concerne, c’est le genre de livre que j’adore pour la simple raison qu’il apporte beaucoup aux novices dans mon genre… Je suppose que pour les amateurs et les connaisseurs il offre matière à confrontation autour de tel ou tel album et confirmation de vos intuitions. On a beau écouter régulièrement de la musique – et je me flatte d’être très éclectique -, on ne l’entend pas toujours, elle ne nous touche pas toujours de la même façon. Avez-vous écouté Georgia on my mind de Ray Charles seul dans le noir, par exemple, préférez-vous entendre James Brown chanter Sex Machine ou le voir la chanter ?
Là, l’auteur m’a appris une chose importante : que signifie le mot « funk » et de quel genre de musique il s’agit et, croyez-moi, cela ouvre des horizons. Cela a même fait remonter une anecdote : l’interdiction de la chanson des Beatles A ticket to ride aux États-Unis après l’attentat contre les deux tours… Je ne vais pas vous la donner cette définition, à vous de voir si elle correspond à la vôtre – si vous en avez une.
Les amateurs et les connaisseurs iront directement vérifier si leur disque préféré de James Brown figure bien dans les cents. Pour ce qui me concerne, j’ai regardé si certains de mes musiciens et chanteurs préférés étaient bien là et j’ai eu le plaisir de voir qu’Hendrix, Éric Burdon (ex- Animals), Miles Davis et Prince étaient bien là. Cela fait plaisir de constater que l’on n’a pas si mauvais goût que cela. Car, bien sûr, il ne peut être question de douter du choix de l’auteur dont on ne peut imaginer qu’il n’a pas écouté ce dont il ne parle… Et accessoirement on peut lire en quatrième de couverture qu’il est musicien professionnel.
Bonnes lecturécoutes.
On the One !
Auteur : Belkacem Meziane
Editeur : Le mot et le reste
Laisser un commentaire