Tekken a 30 ans cette année ! Jeu de combat 3D emblématique de la PS1 en 1994, Tekken c’est 30 ans d’arcade à grands coups poings dans la tronche. Gameplay simple et brutal, Tekken c’est le plaisir de fracasser son adversaire avec toute sa puissance. Les péripéties de la famille Mishima ont évolué avec les années et ce Tekken 8 est l’aboutissement de cette rivalité qui transcende les générations. Tekken 8 meilleur opus de la série ? c’est possible. Prêt pour l’ultime affrontement?
Le jeu de baston dans le jeu vidéo a le vent en poupe. Toujours à la mode, il connait néanmoins des périodes creuses avec peu ou pas de sorties majeures durant de longues périodes. Et tout d’un coup, c’est l’abondance et les jeux sortent les uns après les autres. Depuis un an les grosses licences de jeux de baston reviennent et pas des moindres. Un nouveau Street Fighters et un nouveau Mortal Kombat. Sans oublier le Naruto Ninja Storm. Street Fighters 6 et Mortal Kombat 1 sortent respectivement l’été et l’automne dernier. Deux mastodontes du jeu de baston. Et cette fin janvier voilà le nouveau Tekken 8. Fer de lance de la PS1. Classique de chez classique du jeu de baston 3D. Tekken 8 arrive pour se creuser une place sur la scène internationale sur PC, PS5 et Xbox Series.
Chacun de ces jeux ont des points communs, c’est indéniable. Il faut défoncer son adversaire de la meilleure des manières. Mais ils sont tous différents quand on s’y intéresse de plus près. Le style de combat, le design du jeu, son histoire, ses personnages emblématiques, le rythme ou plutôt le flow, la technique, la mise en scène, la violence et le gore, le côté sexy (DoA), les animations, les combos, son équilibrage, la facilité ou non à y jouer, etc., etc. On peut aussi les comparer sur la présentation, le contenu, les modes, ainsi que les modes histoires, et finalement sur son online et sa capacité à créer des tournois intéressants.
Tekken se distingue par sa violence brute et l’agressivité de ses combats. Il garde aussi son ADN de jeu de combat 3D datant des années 90 avec ce style très particulier que l’on ne retrouve plus beaucoup aujourd’hui. Tekken a ce petit feeling agressif bien à lui qui fait tellement année 90. Je ne sais pas c’est peut-être le char design des persos, la musique techno ou les animations 3D, mais il y a une patte Tekken qu’on ne retrouve pas ailleurs. Et ce n’est pas pour me déplaire. Tekken ce n’est pas des chorégraphies complexes (héritage 3D), ni des magies spéciales impressionnantes. C’est du combat pur. Ce qu’il ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’attaque chorégraphiées qui en mettent pleins la vue. Non, Tekken c’est la simplicité des coups forts à gros impacts. Tekken ça tape fort, très fort.
Dans Tekken, on a ce sentiment de cogner fort. Les coups portés dans le jeu son souvent simple. Droite, gauche, uppercut, coup de pied, coup de pied rotatif, etc. Du classique, mais l’impact des coups est ce qui lui donne son charme. Chaque coup est accompagné d’un boum sonore qui amplifie la puissance du coup. Et ça marche. On a l’impression d’envoyer des patates de forain. Ça a du punch. Puis le jeu ajoute des petits effets graphiques, éclairs, flammèches, de toutes les couleurs, mais rien de bien compliqué. Juste ce qu’il faut pour emballer le tout et donner plus d’impact encore.
Tekken est aussi un jeu de baston où il faut être très agressif. Ce n’est pas basé sur le contre et l’esquive. Il ne faut pas laisser une seconde de répit à l’adversaire. Les combats sont souvent assez courts et intense. Il faut dégainer le plus vite et enchainer les combos et faire descendre la barre de vie rapidement. Il faut bien se timer pour ne pas taper dans le vide et laisser le temps à l’adversaire de répliquer et reprendre la main, car il est difficile de la récupérer après.
Tekken 8 s’inspire de la concurrence et ajoute une barre de spéciale activable 1x dans le combat. C’est le Heat system. Grâce au Heat, le personnage devient plus fort et peu lâcher des coups plus puissants durant un court laps de temps. Ça permet de reverser la vapeur et parfois de se sortir de situations compliquées. Aussi, vers la fin d’un combat lorsque la barre de vie est très basse, on peut activer le Heat Raging. C’est une sorte de baroud d’honneur qui déclenche une attaque dévastatrice et très punitive à l’adversaire. De plus, les attaque Heat Raging sont sous la forme d’animations. Elles sont impressionnantes, pour du Tekken. Ça reste moyen si on compare à par exemple à celle de MK1.
Parlons ensuite des personnages et de leurs looks. Il y a 32 combattants dès le départ. On retrouve pas mal tous les classiques et quelques nouveaux. D’autres viendront plus tard dans le season pass. Kazuya, Jin, Xiaoyu, Lili, King, Kuma, Panda, Yoshimitsu, Nina, Hwaorang, Jack-7,Feng Wei, Paul Phoenix, etc. Quelques personnages manquent à l’appel encore comme Heihachi, Akuma, Lucie mais il viendront sans doute plus tard dans le season pass.
Il y a 5 nouveaux personnages : Angel Jin, Azucena la Péruvienne professionnelle du café, un nouveau robot Jack-8, Reina une combattante féroce pleine de mystère qui se bat avec le style Mishima et finalement Victor Chevalier le combattant Français doublé par Vincent Cassel. Ils sont réussi globalement, Azucena est très sexy, Victor est très classe et élégant et Reina est vraiment cool avec son style street.
Graphiquement et techniquement, Bandai Namco on fait du très bon boulot. Le jeu est magnifique. Que ce soit le char design, les décors ou les cinématiques, tout est réalisé à la perfection. C’est vraiment beau. On est sur un des plus beaux jeux de baston à ce jour. Si ce n’est le plus beau. ça tape dans tous les sens et visuellement aussi. Reste les animations toujours un peu robotiques, héritage 3D de la génération PS1. C’est son style, avec des déplacements qui glissent un peu sur le sol et des transitions très arcade.
Niveau look, ça vaut le détour. Hyper exagéré, c’est over the top. Jin avec son immense blouson de motard blanc et noir tellement années 2000 : cool et pas classe à la fois. Le mec c’est une armoire à glace démesurée. Kuzuya pareil que son fils mais avec des costumes avec un manteau en croco bleu, mais en gardant ses gants de combat rouges. C’est l’extravagance et le ridicule à son paroxysme. La Française habillée en poupée toute rose. Y a un ours, un panda, Paul qu’on reconnaissait à ses cheveux blonds raides sur la tête est devenu vieux et gros et ses cheveux sont retombé façon ‘‘sauver Willy’’. Il y a un mec avec un masque de ski. Il y a de tout et n’importe quoi. C’est ‘’out there’’. C’est tellement le style Tekken, c’est comme ça. Par contre, l’impression d’avoir moins de personnages sexy se ressent la moindre. Il y en avait plus dans le 7. Même les costumes secondaires sont plus conservateurs et moins olé olé.
Ce qui est cool, c’est qu’on peut personnaliser ses personnages avec un large choix de vêtements et d’accessoires. On peut aussi gagner des costumes spéciales dans le mode bataille contre fantômes qui nous fait affronter des AI de joueurs du monde entier. Très bon mode d’ailleurs pour se mesurer à des comportement pseudo-réaliste sans aller sur le online. De plus, les joueurs on souvent des combattants personnalisés.
Tekken 8 inaugure son système special style. Tekken, c’est un jeu assez technique quand même. La base est simple, mais pour devenir un pro, c’est autre chose. Pour lâcher des gros coups en combos, il y a une certaine gymnastique à faire et à apprendre. Beaucoup de joueurs n’ont pas envie de passer des heureux en salle d’entrainement pour réussir à sortir de temps en temps un combo spectaculaire. Ils veulent du spectacle et que ça claque directement. C’est là qu’intervient le mode spécial. On ne va pas dire automatique, mais ce mode, pour les joueurs inexpérimentés, a comme vocation de placer des coups techniques et puissants difficiles à sortir, mais sans se prendre la tête et sans à avoir à s’entrainer des heures et des heures. Et donc en plein combat, on peut activer ou désactiver le mode en simplement pressant L1 (LB). Et le résultat est stupéfiant. En une seule pression d’un bouton, on se transforme en joueur pro. On sort des attaques spéciales puissantes. Les combos n’ont plus aucun secret. Et on défonce ses adversaires (IA) avec panache de manière spectaculaire. Alors, il faut s’y habituer, car les persos n’agissent plus du tout de la même manière. Il faut simplement actionner les bons boutons qui enclenchent les différents types d’attaque et voilà.
Alors, on ne va pas se le cacher, la tentation de l’utiliser tout le temps est grande car on se sent fort. Les combats sont hyper violents et stylés et la sensation d’ultra puissance est là. Mais au bout d’un certain temps on se rend compte qu’on n’apprend pas à jouer réellement au jeu. Revenir au mode normal est aussi très satisfaisant. On se sent plus aux commandes. Il faut savoir qu’en combat online le special sytle est aussi activable. De ce que j’ai fait comme combat, j’ai remarqué que la plupart des joueurs ne l’active pas d’office. Il y a comme une entente non dite qu’on joue à la loyale sans aide. Par contre, lorsque la défaite se fait sentir le special style s’active avec la frustration et la rage de vaincre. Il faut donc se méfier et s’adapter si c’est le cas. Heureusement ça se remarque très vite. Mais il faut se méfier des filous qui abusent.
Tekken 8 est très complet dès le départ. Il y a suffisamment de contenu pour s’éclaté sur ce Tekken 8. Le jeu est généreux : 32 combattants dès le départ et un season pass déjà annoncé ; 14 stages avec des variants ; 2 modes histoires (principale + chaque personnage) ; des modes vs ; le retour du Tekken Ball ; un mode arcade quête ; personnalisation à gogo et un online plutôt complet avec un hub social, des combats adaptés et les tournois. Le jeu nous met bien.
Pour le mode histoire, c’est une fois de plus over the top. Les Mishima n’en ont toujours pas fini de se foutre sur la tronche pour la domination du monde. Oui les Tekken ont une histoire qui se suit et évolue. Et elle n’est pas si simple à suivre. Les devs s’en sont rendu compte. Ils ont mis un résumé des 7 Tekken précédents pour bien comprendre les personnages et les en-jeux. Malheureusement, les résumés, bien que stylé en noir-blanc, sont trop vite expédié et difficile à suivre. C’est confus. Mieux vaut aller sur internet trouver des résumer plus long et mieux expliqué. Mais on apprécie l’effort. Le pire c’est qu’ils ont fait un résumé bien meilleur et plus digeste en anglais avec l’acteur Brian Cox.
Revenons à l’histoire. En gros Heihachi Mishima, le grand méchant, est finalement mort (Tekken 7), son fils Kazuya, président de la G corp, veut créer un nouvel ordre mondial basé sur la force et la puissance. Son fils, Jin Kazama, président de Mishima Zaibatsu, veut empêcher son père d’y arriver. Les deux sont porteur du Devil Gene qui leur permet de se transformer en démon. La soif de pouvoir de Kazuya est sans limite et il organise un nouveau tournoi The Iron Fist tournament (Tekken) pour hiérarchiser les nations avec leur combattants représentants. Jin et ses alliés en profite pour aller défier une fois de plus Kazuya. D’autres groupes militaires s’engage dans le conflit pour restaurer la paix et l’équilibre. Evidemment, tout ne va pas se passer comme prévu et une guerre générale éclate. Une guerre aux enjeux presque céleste où s’affrontent anges et démons. Les combattants des 3 clans vont s’affronter jusqu’au combat final, teasé et t’en attendu par les fans de Tekken : Jin vs Kazuya.
Alors pour ce qui est du ressenti de ce mode histoire, c’est vraiment pas mal. Alors oui, c’est très nanardesque. Les dialogues sont potaches et mal joués, la mise en scène en fait des caisses et le scénario est digne d’un film à la JCVD. C’est toujours plus, plus, plus. Ça n’arrête pas. Mais c’est rigolo à regarder. C’est bien fait avec des cinématiques de très bonne qualité (sauf l’encodage) qui en mettent plein la tronche. D’ailleurs les transitions entre cinématiques et le jeu sont plutôt classes et presque seamless. On voit le downgrade, mais c’est léger et ça passe bien. Comme l’histoire est plutôt centrée sur Jin et Kazuya, les devs on trouver des parades pour intégrer les autres personnages et offrir un maximum de combats varié, en intégrant même le tournoi en lui-même.
Il y a aussi une semi-surprise plus loin dans le scénario avec un mode brawler appelé rébellion. Là, il faut taper des hordes de soldats sur le champ de bataille. Changement de perspective, on voit le jeu sous une nouvelle forme. Si la surprise fait plaisir, heureusement que ce n’est pas trop long, car c’est très moyen comme gameplay. Les déplacements sont clunky. C’est répétitif à mort, l’IA de certains mobs n’est pas actif. Ce n’est pas terrible. Dommage.
Heureusement, il y a des affrontements épiques dans le mode histoire. Je ne vais pas spoiler pour ceux qui voudrait le faire, mais il y a de beaux combats bien scénarisé et mis-en-scène avec des animations et des cinématiques intégrées. Et comme on le sait depuis l’annonce du jeu, le combat Jin contre Kazuya est juste somptueux. C’est le climax du jeu et il en vaut la peine.
L’histoire principale se déroule sous 15 chapitres et il faut compter 3-4 heures pour le finir. Après tout dépend, si on utilise ou pas le mode special style. C’est plus compliqué et plus difficile sans lui. A vous de voir.
Une fois l’histoire principale de Jin et Kazuya terminée, on peut enchaîner sur les histoires des personnages. Là, il y a 32 chapitres à faire ; 1 par perso. Si sur le papier ça parait chouette. La réalité est moins radieuse malheureusement. Alors oui, on découvre l’histoire de chacun des personnages et on en apprend plus sur eux. Et ça, c’est très bien fait. Il y a deux cinématiques (intro et outro) de bonnes qualités et souvent assez humoristiques. C’est top. Le souci, c’est le gameplay identique pour tous les personnages. A chaque fois, il s’agit de faire le même tournoi Tekken et devenir le champion au bout de 5 combats. Le dernier combat étant contre le némésis du personnage. Alors, c’est cool la première fois, mais après le 3ème ça perd de sa splendeur. Et il y en a 32 je le rappelle. Donc mieux vaut faire des pauses et choisir ses personnages préférés avant de s’en lasser. Mais ça vaut le coup pour les cinématiques. Et pour les crédits gagnés. 1000 000 cc par personnage terminé. C’est pas mal.
Les crédits in-game permettent d’acheter des objets de personnalisation. Car oui, on peut aussi personnaliser ses combattants en les rhabillant de la tête aux pieds, mais aussi son avatar et sa plaque de présentation.
Avatar ? pourquoi avoir un avatar dans Tekken 8 ? Car il y a un mode social dans le jeu. Un peu comme dans Street Fighters 6, on peut créer un avatar qui va pouvoir se promener dans un monde virtuel pour faire de rencontres et des combats. Il y a deux modes : le mode quête arcade offline et le mode salon de combat online.
Le mode quête arcade fait évoluer notre avatar dans différentes salles d’arcades. On affronte des npc qui discutent avec nous et nous affrontent dans des combats classiques. On gagne de l’exp, des objets, des crédits, etc. Et plus on avance, plus les combats deviennent techniques et difficiles. C’est un genre de mode tutoriel ludique déguisé. C’est plutôt sympa pour c’est qui veulent un peu plus d’aventure que simplement des combats à la chaine. C’est chill.
Le mode salon de combat permet de réunir les joueurs des différentes plateformes au même endroit. C’est un immense hub pour rencontrer d’autres joueurs et se battre ensemble. On se promène. On voit un combattant sur une borne et on peut voir ses stats, le voir jouer s’il est en combat ou l’affronter. Le tout avec un chat pour rendre l‘expérience le plus sociale possible. Après ceux qui n’aiment pas ce genre d’endroit. Il y a moyen de directement sélectionner partie classée ou non-classée ou des combats entre amis dans les menus sans passer par le salon.
C’est le retour du Tekken-ball. On ne va pas passer la nuit dessus. C’est un petit mode sympa qui nous amène à la plage pour faire un combat avec une balle de beach-volley. Ça détend, c’est rigolo, mais ça s’arrête là.
Voilà, le tour du propriétaire est bouclé. Et vous l’aurez remarqué, Tekken 8 est très complet. Il y a de contenu pour rester jouer des heures. L’histoire est vraiment cool dans son style nanar assumé avec des personnages incroyables avec des styles qui frisent souvent le ridicule typique de la série et des dialogues sur-joués de série B. Mais c’est cool. Ça a de la gueule. Ça pète de partout et c’est toujours plus jusqu’au climax final. Mais le plaisir de Tekken, c’est son gameplay agressif et puissant. Pas d’esbroufe, c’est du combat d’art-martiaux pur et simple. C’est l’impact et la vitesse qui fait la différence avec Tekken. Et c’est très chouette manette en main. On sent que ça cogne. Mais aussi plaisant que ce soit, ce n’est pas toujours simple de sortir des gros coups puissants ou des combos dévastateurs. Le special style résout le problème avec un mode pour débutant qui automatise les combos et coups spéciaux. Très pratique pour jouer avec des néophytes qui voudrait apprécier le jeu avec des combats impressionnants mais qui n’en sont pas capable. C’est vraiment bien vu. Pour le reste c’est du Tekken à son meilleur. C’est peut-être le meilleur Tekken à ce jour d’ailleurs. Le contenu est immense avec 32 personnages et d’autres à suivre. Des modes offline et online avec tournois, socialisation, monde d’avatar. Il y a de tout, même le Tekken-ball qui est de retour. Techniquement, le jeu est super beau. Tekken 7 avait un peu déçu de ce côté-là, Tekken 8 rectifie le tir avec un des plus beaux jeux de combat. Les détails des personnages sont nombreux et de qualités. Les textures sont magnifiques. C’est clean, précis et ça tourne super bien (encore heureux). Les 14 environnements sont aussi très beaux avec beaucoup de détails. Vraiment, il n’y a pas grand-chose à lui reprocher à ce Tekken 8. Mise à part la musique très techno japonaise qui, bien que très motivante, tape parfois un peu sur les tympans. Après on peut ne pas aimer son style très 90-2000 très prononcer, mais c’est la série qui veut ça. Ce sont des personnages haut en couleur avec des styles très particulier et très codifier pour bien les différencier. Mais il faut avouer qu’il y a des costumes vraiment…japonais, on dira.
Tekken 8 n’a pas à rougir face la concurrence. Il propose un style de combat différent hyper jouissif qui lui est propre. Ses graphismes sont magnifiques et son contenu plus que satisfaisant. C’est un grand défouloir qui s’adresse autant aux débutants, avec son mode special style, qu’aux pro avec un gameplay complexe à maitriser correctement. C’est vraiment un package complet qui ravira les amateurs de jeux de combats qui veulent se défouler. C’est le meilleur Tekken point barre.
Les plus :
- Un gameplay arcade 3D très agressif et hyper plaisant
- Les graphismes magnifiques
- La nouvelle jauge Heat system et le Heat raging
- Le special style pour les débutants ou pour s’en sortir
- Un mode histoire très plaisant pour ce qu’il propose
- Le roster très grand (32 perso de base)
- Les magnifiques décors
- Beaucoup de personnalisation
- Beaucoup de très belles cinématiques
- Beaucoup de modes onlines et offlines
- Les nouveaux personnages sont très bons
- Faut aimer le style artistique très 90-2000 (style, musique, gameplay)
- Le combat ultime de Jin et Kazuya
- Le meilleur Tekken
Les moins :
- Le mode rébellion (brawler) dans le mode histoire. Vraiment dispensable
- Des dialogues nanardesques à souhait
- Vincent Cassel bon, mais qui en fait trop ou pas assez
- Histoire des personnages décevant : trop redondant, sans effort (sauf les cinématiques)
- Le récap des 7 précédents Tekken trop confus
- La bande-son à à 2000bpm c’est un peu trop
- Les avatars ? Juste pourquoi ?
- Des personnages plus sobres qu’avant (moins sexy)
- Faut aimer le style artistique très 90-2000 (style, musique, gameplay)
Editeur : Bandai Namco
Développeur : Bandai Namco
Date de sortie : 26.01.2024
Plateforme : PS5, Xbox Series X|S & PC
Genre: jeu de combat
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